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La région de la Boucle du Mouhoun a abrité l’atelier de lancement technique du projet Agriculture contractuelle pour une intensification écologique de la production de riz par les petits producteurs (ACPER). C’est dans la salle de réunion du Conseil régional que le cabinet Groupe de recherche et d’action de développement a présenté le contenu du projet qui s’exécutera dans les provinces du Mouhoun, des Banwa et du Sourou, au profit de 6 000 producteurs de riz de la région.

Les petits producteurs de riz de la région de la Boucle du Mouhoun viennent d’avoir un nouvel appui, ce mardi 28 juillet 2020. Cet accompagnement se réalisera sur les trois années à venir (de juillet 2020 à juin 2023) avec le lancement technique du projet ACPER dans la salle de réunion du Conseil régional de la Boucle du Mouhoun.

Représentant le gouverneur de la région la secrétaire régionale Salimata Dabal a présidé l’atelier de lancement technique qui a réuni les autorités administratives et communales, et les producteurs de riz des trois provinces concernées.

C’est le cabinet Groupe de recherche et d’action de développement (GRADcg) qui a été retenu pour mettre en œuvre le projet ACPER qui veut offrir des possibilités importantes d’intensification de la production de riz par les petits exploitants de la région de la Boucle du Mouhoun.Le coordonnateur du projet, Sié Ghislain Ouattara

L’atelier de lancement vise, selon les organisateurs, à partager le contenu du projet avec les différentes parties prenantes pour une meilleure appropriation en vue de faciliter la mise en œuvre des activités sur le terrain.

Et ces activités ont été présentées aux autorités régionales et à l’ensemble des partenaires présents par le coordonnateur du projet, Sié Ghislain Ouattara. « Dans le cadre de ce projet, nous aurons des activités de formation en cascade en agro-écologie, en opération post-récoltes, en contractualisation. Nous accompagnerons les organisations de producteurs. Nous construirons et équiperons des magasins de stockage avec la mise en place d’un système pour la gestion des équipements », a-t-il annoncé.La secrétaire générale de la région de la Boucle du Mouhoun, Salimata Dabal

Selon le coordonnateur, ce projet permettra d’améliorer les revenus et la sécurité alimentaire de 6 000 producteurs de riz dans la Boucle du Mouhoun. Ces producteurs bénéficiaires seront capables par ailleurs d’assurer une production écologiquement intensive et un approvisionnement compétitif et durable de la variété paddy de qualité aux marchés.

Prenant la parole, Salimata Dabal, secrétaire générale de la région, a salué la mise en œuvre du projet ACPER dans la Boucle du Mouhoun. « Nous souhaitons vivement que le projet puisse réaliser ses objectifs », a-t-elle formulé.
Le projet ACPER sera mis en œuvre par GRAD Consulting group, en partenariat avec les organisations de producteurs, l’Unité de transformation de Dédougou et les services techniques du ministère de l’Agriculture des provinces des Banwa, du Sourou et du Mouhoun.Georges Kienou, producteur de riz au Sourou

Il est cofinancé par l’Etat Burkina, l’Agence française de développement et l’Union européenne.
Selon le représentant des bailleurs, Amadou Drabo, le coût total du projet lancé ce 28 juillet 2020 s’élève à 661 101 568 F CFA avec une subvention du PACTE de 562 299 193 F CFA.
Tahirou Sako, de la Chambre régionale d’agriculture, parrain de la cérémonie, quant à lui, a traduit ses remerciements au cabinet GRAD consulting pour le choix porté sur la région de la Boucle du Mouhoun.

Bienvenu DEMBELE
Lefaso.net

La cérémonie de lancement du projet d’agriculture contractuelle pour une intensification écologique de la production du maïs par les petits producteurs de la Sissili dans la région du Centre Ouest (ACPEM), s’est tenue le 17 Juillet 2020 à la mairie de Léo, sous la présidence du Haut-Commissaire de la province de la Sissili Mohamed Sié Kam. Il s’agit d’un projet qui est mis en œuvre par le GRAD et ses partenaires la Société Nationale de Gestion des Stocks de Sécurité (SONAGESS), les Organisations faitières de producteurs APSERN et FNZ, la Direction Provinciale de l’Agriculture et des Aménagements Hydroagricoles de la province de la Sissili (DPAAH / Sissili) et le réseau des caisses populaires de Léo

Le lancement officiel du projet vient couronner l’information auprès des autorités publiques et techniques, dans le processus d’information et de sensibilisation des acteurs et des partenaires.

Il s’est agi de présenter le projet (contexte, cibles, objectifs, résultats attendus et activités) aux participants, dérouler la stratégie d’invention du projet (approche, responsabilité des acteurs et attentes du projet vis-à-vis des faitières) et partager le planning du semestre 1.

A en croire les responsables du GRAD, ce partage d’information vise non seulement les bénéficiaires et les acteurs du développement de la région concernée, mais aussi toute la population burkinabè, les partenaires techniques et tous les autres partenaires.

Le projet va permettre le conditionnement des kits d’intrants pour les démonstrations

Aussi, le projet va accompagner une relation commerciale d’achat de maïs par la SONAGESS avec des coopératives de la Sissili. En effet, la démarche basée sur l’agriculture contractuelle voulue par le projet va offrir des possibilités importantes d’intensification de la production des petits exploitants en leur facilitant l’accès aux services de vulgarisation, les services de mécanisation, les semences, les engrais et le crédit, et de marchés garantis et lucratifs pour leur production. Aussi, elle offre à l’acheteur (SONAGESS), l’opportunité de garantir un approvisionnement fiable des réserves nationales de sécurité alimentaire, tant du point de vue de la quantité que de la qualité.

En outre, les acquis majeurs conduits à ce jour sont la facilitation de l’accès aux crédits intrants (collecte des besoins, synthèse et accompagnement à l’accès) et l’identification des producteurs contractants, la formation des encadreurs, animateurs et démonstrateurs sur le protocole de conduite des parcelles de démonstration en autres. Sans oublier, l’achat et conditionnement des kits d’intrants pour les démonstrations, l’implantation en cours (80%) des parcelles de démonstration et la négociation d’un protocole de collaboration avec les Directions Provinciales de l’Agriculture.

Juste Bancé (Collaborateur)

Ecodufaso.com/Ecodafrik.com

Les politiques agricoles sont au cœur d’une rencontre organisée par  le Groupe de recherche et d’action pour le développement en Afrique (GRAD) et l’Institut international de recherche en politiques alimentaires (IFPRI). Les participants réfléchissent le temps d’une journée ce vendredi 30 septembre 2016, sur les orientations à prendre à un moment où « la plupart des référentiels (SCADD, PNSR, ODD) sont arrivés à terme ». Ils conviennent que pour assurer la sécurité alimentaire, il faut avoir à portée des données fiables avant de se lancer dans l’élaboration des schémas directeurs. 

Pour des raisons climatiques et sociales, le problème de la sécurité alimentaire affecte une bonne partie des populations à majorité agriculteurs avec des conséquences sur leur santé et sur la relance de la croissance économique.

Et même si « l’engagement politique est réelle et manifeste pour pouvoir éradiquer la faim dans notre pays », a reconnu Abdoulaye Mando, directeur du GRAD, il n’occulte pas qu’« il reste pas mal de défis à relever depuis la production, la distribution et la commercialisation ». Tout ceci pour, dit-il,  parvenir à une croissance et une activité économique efficiente.

« L’information est utile pour les planifications. Ça tombe très bien pour le pays, qui est en phase de planification sur beaucoup de secteur », a ajouté le directeur du GRAD. Elle est aussi « capitale » pour  relever ces défis. C’est sur elle que se fondent les politiciens pour « prendre des décisions politiques bien éclairées fondées sur des bases scientifiques rigoureuses ».

De l’avis d’Abdoulaye Mando, la primauté du travail ne se résume pas qu’à la fourniture de l’information. Il y a le suivi citoyen des actions gouvernementales. « L’autre met en place un certain nombre de politiques. Il faut les suivre, les évaluer, les ajuster », précise-t-il.

Dans son intervention, Teunis Van Rheenen, chargé du département développement à l’IFPRI a indiqué qu’en réponse à la crise alimentaire de 2012, il est important d’être connecté. « C’est pour qu’on puisse disposer en un seul lieu des données importantes », a-t-il dit.

Une chose est plutôt certaine pour Amadou Sidibé, secrétaire permanent de la coordination des politiques agricoles au ministère de l’agriculture. C’est que « les politiques agricoles sont le point de départ de la mise en œuvre de toute politique. Sans conceptions de politiques, sans plans, la mise en œuvre est déjà vouée à l’échec ». D’où la nécessité d’une « inclusion » de tous pour assurer la sécurité alimentaire pour tous.

Sans entrer dans les détails avant son exposé sur la situation institutionnelle, il a indiqué que « la plupart des référentiels (SCADD, PNSR, ODD) tant au niveau national et régional sont arrivés à terme », avant d’émettre son souhait de voir ressortir quelque chose « de substantiel à utiliser à bon escient ».

Oui KOETA

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